Québec, d'hier à aujourd'hui

Église Notre-Dame-des-Victoires à Québec

par Couvrette, Sébastien

Église Notre-Dame-des-Victoires, vers 1870

L’église Notre-Dame-des-Victoires, dont la construction a débuté en 1688, s’élève à l’endroit considéré comme étant le berceau de l’Amérique française. En effet, sur ce même emplacement, Samuel de Champlain érigeait son Habitation en 1608, acte fondateur de l’histoire de la ville de Québec et du Canada. Le nom de l’église rappelle deux victoires remportées contre les Anglais, lors de tentatives infructueuses de prendre Québec, en 1690 et 1711. Les bombardements qui précédèrent la prise de Québec par les troupes de Wolfe en 1759 laissèrent en ruines de nombreux bâtiments de la Place-Royale, dont cette église. Par la suite, les nombreuses rénovations réalisées pour assurer la survie du monument en ont transformé l’aspect extérieur. Mise en valeur par un système d’éclairage depuis 2008, en l’honneur du 400e anniversaire de la fondation de Québec, l’église Notre-Dame-des-Victoires témoigne aujourd’hui de plus de trois siècles de patrimoine architectural.

 

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Un site historique unique

La pointe de Québec où s’élève l’église Notre-Dame-des-Victoires est un site historique unique au Québec. Avant le premier passage de Samuel de Champlain, en 1603, l’endroit a été fréquenté par des groupes amérindiens pendant plus de 2 000 ans (NOTE 1). La localisation stratégique de la pointe de Québec n’échappe pas à Champlain, qui y fait ériger en 1608 une habitation en bois devant servir de comptoir pour la traite des fourrures. Cette construction marque les débuts de l’histoire de l’Amérique française et la fondation de la ville de Québec.     

Plaque commémorative signalant le site historique et archéologique de l'Habitation-Samuel-de-Champlain, à Place-Royale

L’Église Notre-Dame-des-Victoires se situe sur l’emplacement exact où se trouvait la seconde Habitation de Champlain, construite en pierres dans les années 1620 au même endroit que la première. Les vestiges de cette seconde Habitation ont été mises à jour lors de chantiers archéologiques réalisés dans les années 1970 et 1980. Les motifs du pavage devant l’église indiquent par une couleur foncée l’emplacement d’une des tours de cet établissement. La deuxième Habitation, qui abritait notamment le magasin du Roy, a été détruite en 1682 par un important incendie qui a ravagé la majorité des maisons de la Place-Royale. L’année suivante, à la demande de Mgr François de Laval, évêque de Québec, le gouvernement colonial concède le terrain pour qu’y soit construite une chapelle. Le bâtiment doit servir de succursale à la basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec, dont la construction a débuté en 1647, pour les habitants de la Basse-Ville (NOTE 2).

 

Un projet de construction semé d’embûches

Plan de la ville de Québec en 1744 par Jacques-Nicolas Bellin

Des désaccords entre les propriétaires des différents lots de la Place-Royale retardent le commencement des travaux. En 1688, la construction de l’église débute enfin et se déroule sous la supervision de l’architecte français Claude Baillif. Il faut cependant composer avec des contraintes imposées par le milieu urbain dans lequel se trouve enchâssé le bâtiment. Ainsi, par rapport à son plan initial, l’église a perdu en largeur en raison de l’étroitesse des lieux, mais gagné en hauteur afin de rivaliser avec les édifices qui l’entourent et qui, autrement, l’auraient privée de lumière (NOTE 3).

Outre ces difficultés structurelles, le projet se bute à des ennuis administratifs. Le chantier sera même suspendu pendant quelques temps car des litiges entourant les droits de propriété de terrains adjacents ne sont toujours pas résolus et les fonds pour poursuivre la construction sont insuffisants. Cependant, des offices religieux commencent à être célébrés dans l’église inachevée dès 1691.

 

Un nom significatif

En 1690, les Anglais, qui cherchent à s’emparer de Québec depuis des décennies, menacent à nouveau la principale ville de la Nouvelle-France. En octobre, une flotte de navires commandée par William Phips mouille l’ancre en face de Québec. Le major britannique adresse un ultimatum au gouverneur Frontenac qui y répondra par la formule devenue célèbre : « Je n’ai point de réponse à faire à votre général que par la bouche de mes canons ». Malgré la confiance affirmée par le gouverneur, les moyens de défense de la ville sont faibles. L’inquiétude est palpable chez les habitants qui prient la Vierge Marie de leur venir en aide afin de repousser la menace anglaise. À la fin octobre, les glaces commencent à se former sur le fleuve Saint-Laurent. Ne parvenant pas à faire tomber rapidement la défense des Français, Phips craint de rester prisonnier des glaces et il ordonne le départ de la flotte. Aux yeux de plusieurs, la protection de la Vierge a permis de mettre en déroute la menace anglaise en favorisant un début d’hiver hâtif. Dédiée à l’origine à l’Enfant-Jésus, la petite église prendra alors le nom de Notre-Dame-de-la-Victoire.

Détail de la fresque figurant derrière l'autel de l'église Notre-Dame-des-Victoires: miracle de 1711

Au début du XVIIIe siècle, l’Amérique française est entraînée malgré elle dans la guerre de Succession d’Espagne qui oppose les grandes puissances européennes, dont la France et l’Angleterre, de 1701 à 1714. En 1711, une attaque en provenance des colonies britanniques nord-américaines se dessine à nouveau. À la fin de l’été, une imposante flotte de vaisseaux anglais se dirige vers Québec… mais la tentative d’invasion échoue en raison d’une forte tempête provoquant le naufrage d’un grand nombre de navires contre les récifs de l’île aux Œufs dans l’estuaire maritime du Saint-Laurent. Les habitants de Québec imputent cette tempête providentielle à la bienveillance mariale obtenue par les prières. L’église sera alors rebaptisée Notre-Dame-des-Victoires pour souligner ce deuxième épisode victorieux attribué à la Vierge Marie (NOTE 4).

 

L’église est enfin achevée

Reconstitution de l'église Notre-Dame-des-Victoires telle qu'elle exista de 1723 à 1759

La construction de Notre-Dame-des-Victoires sera finalement achevée entre 1723 et 1733, sous la supervision de l’architecte Jean Maillou, élève de Claude Baillif. Parmi les éléments caractéristiques de l’église mis en place par Maillou se retrouvent la chapelle dédiée à Sainte-Geneviève, sainte patronne de Paris, le clocher placé au-dessus du chœur à la croisée du transept et le portail orné de deux pilastres et d’une corniche. De part et d’autre du portail, deux niches sont aménagées pour y accueillir des statues (NOTE 5). La façade se complète d’un œil-de-bœuf surmonté d’une troisième niche et d’une ouverture carrée pour la ventilation. Annexée au mur est de l’église se trouve la maison du bedeau qui complète la façade. Cette maison, datant de 1696, sera reconstruite sur deux étages en 1721. Les travaux dirigés par Maillou sont complétés en 1733 avec la construction d’une sacristie située à l’extrémité sud-est du bâtiment. De par la simplicité de la façade dessinée par Maillou, l’édifice correspond au premier style architectural véritablement québécois, qui apparaît vers 1700, et qui tend à se détacher de l’architecture monumentale classique, calquée sur la France, qui prévalait jusque-là dans la colonie (NOTE 6).

 

La fin de la Nouvelle-France

Église Notre-Dame-des-Victoires, 1760

En 1756, débute la guerre de Sept Ans qui oppose une fois de plus les grandes puissances européennes. Le conflit, qui sévit déjà en Amérique entre la Nouvelle-France et les Treize colonies américaines, prendra de ce côté-ci de l’Atlantique le nom de guerre de la Conquête. L’Angleterre est cette fois résolue à prendre le contrôle de la vallée du Saint-Laurent. Après avoir conquis et rasé la ville forteresse de Louisbourg, les Anglais se dirigent vers la ville de Québec qu’ils assiègent et incendient à l’été 1759. La Place-Royale est presque entièrement détruite. De l’église Notre-Dame-des-Victoires, il ne reste que les murs calcinés, comme en témoigne une gravure de l’officier de marine Richard Short réalisée en 1761.

Après la capitulation de Québec, en 1759, celle de Montréal qui survient l’année suivante scelle le sort de la Nouvelle-France. Malgré la défaite française et la prise de contrôle de la colonie par l’armée britannique, la vie quotidienne se poursuit. Les nombreux habitants de la Basse-Ville de Québec ne peuvent rester longtemps privés de leur église, car il n’y a pas d’autres lieux de culte à proximité pouvant accueillir les offices religieux. L’architecte Jean Baillairgé propose de remettre l’église sur pied, en échange de quoi il pourra habiter dans la sacristie pendant cinq ans. Les travaux commencent dès 1762 et prennent fin en 1766. Dans leur ensemble, les travaux visent, selon toute vraisemblance, à redonner à l’église son aspect d’avant la Conquête (NOTE 7).

 

Un édifice délabré

Église Notre-Dame-des-Victoires, vers 1830

Quelques décennies plus tard, au début du XIXe siècle, malgré les réparations réalisées par Jean Baillairgé dans les années 1760, l’état de détérioration de l’église Notre-Dame-des-Victoires est tel que les paroissiens exigent sa réfection. En 1816, les travaux seront confiés à un des fils de Jean Baillairgé, François. Les interventions de l’architecte confèrent sensiblement à l’église son aspect actuel. Il ajoute un œil-de-bœuf près de la corniche, à l’endroit où se trouvaient une niche et l’ouverture carrée, il fait percer des fenêtres dans les deux niches latérales du portail et ramène le clocher en façade. De plus, le toit en bardeaux de cèdres est remplacé par une couverture en fer. Les travaux réalisés par Baillairgé témoignent de nouvelles conceptions architecturales inspirées de l’architecture classique anglaise, mais adaptées aux édifices anciens et au milieu urbain de Québec. Comme ce fut le cas au début du XVIIIe siècle avec Jean Maillou, l’église Notre-Dame-des-Victoires devient à nouveau la manifestation tangible d’un renouveau architectural dicté par l’emplacement du bâtiment et les éléments architecturaux préexistants (NOTE 8).  

 

Des menaces de démolition à la classification comme monument historique

Intérieur de l'église Notre-Dame-des-Victoires, vers 1900

En dépit des importants travaux de réfection menés par François Baillairgé, la capacité d’accueil restreinte de l’église et la volonté des marchands de la Place-Royale d’agrandir l’espace dévolu au marché public laissent planer des menaces de démolition imminente de l’édifice jusqu’aux années 1850. À la demande des paroissiens, l’église sera plutôt restaurée. Des travaux de rénovation se dérouleront tout au long de la deuxième moitié du XIXe siècle afin de préserver l’édifice de la dégradation du temps. Au cours de cette période, l’aspect extérieur de l’église subit très peu de transformations. Seule exception notable, le clocher qui s’élève sur la façade du bâtiment depuis 1861.

En 1929, la Commission des monuments historiques de la province de Québec, mise sur pied en 1922, classait ses trois premiers édifices, soit le Château Ramezay à Montréal, la Maison des Jésuites à Sillery et l’église Notre-Dame-des-Victoires. Au moment de sa classification, d’importants travaux de rénovation seront effectués sur l’église, mais n’auront pas d’impact sur l’aspect extérieur du bâtiment.

 

La Place-Royale : espace historique, espace touristique

À la fin des années 1960, l’église sera à nouveau l’objet de transformations importantes. En 1967, le gouvernement du Québec vote une Loi concernant Place Royale, assise d’un vaste projet de restauration des lieux. Le but visé était alors de conférer à l’endroit un aspect évoquant la Nouvelle-France (NOTE 9).

Mur extérieur gauche de l'église Notre-Dame-des-Victoires

Le grand projet de revitalisation de la Place-Royale débute réellement en 1968 avec la réfection de l’église Notre-Dame-des-Victoires. En cherchant à revenir à l’esprit du Régime français, la rénovation de l’église aurait éliminé d’office les éléments architecturaux apportés par les travaux effectués au XIXe siècle. En réalité, à l’exception du portail, qui a été refait, plusieurs des interventions de François Baillairgé, réalisées en 1816, sont demeurées intactes, tout comme le clocher de 1861. De même, malgré une ligne directrice cherchant à respecter l’idéal d’une architecture inspirée du XVIIIe siècle, la décision fut prise de retirer le crépi qui ornait les murs extérieurs depuis la construction du bâtiment (NOTE 10).

Les interventions pratiquées sur le bâtiment, et les critiques qu’elles ont soulevées, témoignent des problématiques liées à la mise en valeur patrimoniale d’un édifice transformé au gré du temps et des tendances architecturales. Pour certains observateurs, les interventions pratiquées sur l’église Notre-Dame-des-Victoires n’ont pas été suffisamment étayées par des études historiques pour que le projet soit qualifié de véritable restauration. D’autres ont souligné la nécessité de préserver les différentes traces de l’évolution architecturale des siècles derniers. Pour eux, le fait de privilégier une époque en particulier effacerait en partie le riche héritage de cet élément majeur du patrimoine bâti québécois (NOTE 11). Mais au premier chef, les responsables du projet souhaitaient réaliser un travail d’interprétation de l’esthétique du Régime français, en créant un espace dédié aux activités touristiques plutôt qu’un lieu de référence historique (NOTE 12).

 

La décoration intérieure

Détail d'un tableau de l'église Notre-Dame-des-Victoires

L’intérieur de l’église Notre-Dame-des-Victoires porte elle aussi les traces successives du passé. Du décor intérieur aménagé lors des travaux dirigés par Jean Maillou dans les années 1720, seul le tabernacle de la chapelle Sainte-Geneviève a survécu au siège de la ville en 1759. L’œuvre daterait des années 1720 et est attribuée à l’un des sculpteurs de la famille Levasseur. Des tableaux réalisés dans les années 1740 et 1760 ont été installés pour remplacer les œuvres détruites par l’incendie lors de la Conquête britannique. Un de ces tableaux, peint en 1747, est un ex-voto dédié à la Vierge Marie pour avoir sauvé du naufrage le navire L’Aimable Marthe.

Un second ex-voto est suspendu à la voûte de la nef. Il s’agit d’une réplique du Brézé, un navire ayant transporté une partie du régiment de Carignan-Salières envoyé en Nouvelle-France en 1665 afin de contrer la menace iroquoise. Accroché à l’origine au plafond de la basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec, il fut lourdement endommagé lors de l’effondrement de la voûte incendiée en 1759. En 1955, après sa restauration, il a été relocalisé à l’église Notre-Dame-des-Victoires.   

Ex-voto de l'église Notre-Dame-des-Victoires : réplique du navire le Brézé

Le reste du décor est constitué de plusieurs éléments intégrés au cours du XIXe siècle, dont le retable de l’architecte et sculpteur Raphaël Giroux (1854-1857), deux statues du sculpteur Louis Jobin (1878), le maître-autel en forme de château-fort de l’architecte David Ouellet (1878) et des fresques du peintre-décorateur Jean-Marie Tardivel (1888). Ces deux derniers éléments commémorent les victoires remportées sur les Anglais à l’origine du nom de l’église.

Plusieurs tableaux anciens acquis au XIXe siècle ornent également les murs de l’église, dont des œuvres du peintre québécois Eugène Hamel et des copies d’œuvres de grands maîtres européens comme Rubens (NOTE 13). Enfin, les bancs actuels datent de 1902 et l’orgue de la maison Casavant a été installé en 1918.

 

L’église au XXIe siècle

Église Notre-Dame-des-Victoires, 2008

En prévision du 400e anniversaire de Québec célébré en 2008, la Commission de la capitale nationale, l’Institut urbain du Québec, la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) et la Fabrique Notre-Dame de Québec ont collaboré au projet de mise en lumière de l’église. Le dispositif d’éclairage met en valeur certains éléments architecturaux du bâtiment dont le clocher, le portail et les œils-de-bœuf de la façade. Il met également en relief le tracé de la seconde Habitation de Champlain visible dans le pavage devant le parvis de l’église. Le projet a remporté le Prix Lumière 2010 de l’Illuminating Engineering Society de Montréal dans la catégorie Éclairage architectural et de prestige (NOTE 14).

 

Un riche patrimoine architectural

Portail de l'église Notre-Dame-des-Victoires

Érigée sous le Régime français, l’église Notre-Dame-des-Victoires s’élève depuis plus de 300 ans sur le site de la fondation de Québec. Cet exploit ne s’est évidemment pas déroulé sans heurts. L’histoire du bâtiment, des débuts de son édification en 1688 à nos jours, a été marquée par une suite d’événements qui l’ont menacé de destruction et par des travaux de rénovation qui ont transformé son apparence. Au gré des épisodes de réfection extérieure et intérieure, l’église Notre-Dame-des-Victoires a conservé de nombreuses caractéristiques architecturales et artistiques des différentes époques qui l’ont vu évoluer. Elle porte aujourd’hui la trace et le témoignage de trois siècles de patrimoine historique, architectural, religieux et culturel de la société québécoise.

 

Sébastien Couvrette
Historien, Université Laval 

 

NOTES

1. Norman Clermont, Claude Chapdelaine et Jacques Guimont, L’occupation historique et préhistorique de Place-Royale, Québec, Publications du Québec, 1992, 426 p. 

2. Jean Provencher, L’histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine, Québec, Publications du Québec, 2007, p. 15-22, 43-44. 

3. Luc Noppen, Notre-Dame-des-Victoires à la place Royale de Québec, Québec, Ministère des Affaires culturelles, 1974, p. 45-49.

4. Bernard Andrès, « Québec 1759 : chroniques d’une ville assiégée (Ire partie : de 1628 à 1711) », Les Cahiers des Dix, no 61, 2007, p. 131-153.

5. Il s’agirait des statues de la Vierge Marie, de saint Joseph et de saint Jean, œuvres des sculpteurs Levasseur (Luc Noppen, op. cit., p. 54). 

6. Ibid., p. 51-54.

7. Ibid., p. 11.

8. Ibid., p. 68.

9. Isabelle Faure, « La reconstruction de Place-Royale à Québec », Cahiers de géographie du Québec, vol. 36, no 98, 1992, p. 325-326.

10. Luc Noppen, op. cit., p. 79.

11. Ibid., p. 77-79.

12. Isabelle Faure, loc. cit.

13. Sur le décor intérieur, voir Luc Noppen, op. cit., p. 21-38.

14. Commission de la capitale nationale du Québec, « La mise en lumière de l’église de Notre-Dame-des-Victoires », Réalisations : mises en lumière [en ligne], http://www.capitale.gouv.qc.ca/realisations/mises-lumiere/mise-en-lumiere-de-l-eglise-de.html, consulté le 6 juin 2011.

 

Bibliographie

Andrès, Bernard, « Québec 1759 : chroniques d’une ville assiégée (Ire partie : de 1628 à 1711) », Les Cahiers des Dix, no 61, 2007, p. 131-153.

Andrès, Bernard, « Québec : chroniques d’une ville assiégée (IIe partie : 1759) », Les Cahiers des Dix, no 62, 2008, p. 61-91.

Clermont, Norman, Claude Chapdelaine et Jacques Guimont, L’occupation historique et préhistorique de Place-Royale, Québec, Publications du Québec, 1992, 426 p.

Côté, Renée, Place-Royale : quatre siècles d’histoire, Québec, Musée de la civilisation; Montréal, Fides, 2000, 188 p.

Côté, Robert, Mario Savard, Serge Saint-Pierre et Françoise Dubé, Portraits du site et de l’habitat de Place-Royale sous le Régime français : synthèse, Québec, Publications du Québec, 1992, 2 vol. 

Faure, Isabelle, « La reconstruction de Place-Royale à Québec », Cahiers de géographie du Québec, vol. 36, no 98, 1992, p. 321-336.

Lacoursière, Jacques, Histoire populaire du Québec, t. I : Des origines à 1791, Sillery (Qc), Septentrion, 1995, 480 p.

Noppen, Luc, Notre-Dame-des-Victoires à la place Royale de Québec, Québec, Ministère des Affaires culturelles, 1974, 118 p.

Noppen, Luc, et Lucie K. Morisset, « De la ville idéelle à la ville idéale : l’invention de la place royale à Québec », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 56, no 4, 2003, p. 453-479.

Provencher, Jean, L’histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine, Québec, Publications du Québec, 2007, 277 p.

 

Documents complémentairesCertains documents complémentaires nécessitent un plugiciel pour être consultés

Vidéo
  • Entrevue avec Denis Vaugeois sur la Place-Royale, à Québec Denis Vaugeois, ex-ministre responsable du dossier au tournant des années 1970 et 1980, relate une période marquante des rénovations effectuées à Place-Royale et donne son point de vue sur l’intégration actuelle de cette place éminemment touristique dans la trame urbaine environnante. Séquences d'archives, photographies anciennes et prises de vue récentes viennent appuyer les propos de Denis Vaugeois sur ce ce projet d'envergure qui a suscité de nombreux débats.
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