Expo 67 de Montréal, un évènement marquant

par Tran, Van Troi

Le Pavillon du Canada

Du 27 avril au 29 octobre 1967, plus de 50 millions de personnes ont franchi les tourniquets d’Expo 67 pour visiter ce qui s’avérera l’une des plus grandes expositions universelles de l’histoire. Encore aujourd’hui, Expo 67 demeure un évènement majeur ancré autant dans le paysage métropolitain de la ville de Montréal que dans la mémoire collective du Québec contemporain. Cette manifestation, qui couronnait le centenaire de la Confédération canadienne, rassembla 62 nations participantes, des organisations internationales, des grandes compagnies et des organismes canadiens, tous regroupées autour de la thématique « Terre des Hommes ». Elle a ouvert le Québec sur le monde. Elle a également permis l’émergence de savoir-faire  aujourd’hui bien ancrés dans la personnalité distinctive de Montréal et du Québec, comme l’organisation de festivals et d’expositions muséales d’avant-garde. Un circuit culturel et diverses manifestations commémoratives contribuent à garder bien vivant le souvenir de cet événement exceptionnel.

 

Article available in English : Expo 67 in Montreal, a Landmark Event

Montréal, 1967

À l’époque, un journaliste du Figaro qualifie Expo 67 de «  plus gigantesque exposition de tous les tempsNOTE 1 ». La contagion euphorique qui gagne nombre de témoins d’une exposition universelle, quelle qu’elle soit, invite inévitablement aux superlatifs dans la façon de s’exprimer sur un tel évènement. Mais dans le cas d’Expo 67, ce commentaire ne semble pas exagéré. Durant les six mois de festivités entourant cette grande manifestation, Montréal, le Québec et le Canada changent de visage alors qu’ils accueillent le monde. Quantitativement, 50 306 648 entrées payantes sont comptabilisées, dont la majorité (45%) proviennent des États-Unis, un chiffre d’affluence alors jamais atteint pour une exposition universelle depuis la grande exposition de 1900 à Paris.

Vue du site prise du dessus du Pavillon du Canada

Le site de 253 hectares, qui est aménagé grâce à une extension de la superficie de l’Île Sainte-Hélène et la création de l’Île Notre-Dame, se répartit en quatre secteurs : 1) l’entrée sur la cité du Havre, liée aux îles par le pont de la Concorde, où sont situés les bâtiments administratifs et le complexe Habitat 67, 2) le sud-ouest de l’île Sainte-Hélène, 3) le parc d’amusement de la Ronde au nord de l’île Ste-Hélène, et  4) l’Île Notre-Dame accueillant la plupart des pavillons nationaux. Soixante-deux pays participent à la manifestation, dont quelques pays d’Afrique venant d’accéder à l’indépendance. S'y  ajoutent des pavillons provinciaux et thématiques (Téléphone, Kaléidoscope, Air Canada, Canadien National, Pavillon de l’Homme, etc.).

Qualitativement, les retombées de l’Expo ont été considérables tant sur le plan socio-culturel que politique. Alors que la Révolution tranquille bat son plein au Québec, cet évènement d'exception marque la modernisation du pays et l’émergence de nouvelles valeurs démocratiques, ainsi que la montée d’une fierté nationale renouvelée. Comme pour toute exposition universelle, Expo 67 attire le regard international, autant celui des grands dignitaires que celui de la masse de touristes qui font vibrer la vie urbaine. Les arts, la culture, la musique, la gastronomie, la vie quotidienne ont été marqués d’une manière ou d’une autre par l’évènement qui a transformé les manières de voir, d’écouter et de sentir d’un grand nombre de personnes. La manifestation a aussi laissé sur le paysage montréalais des traces durables qui témoignent de la grandeur du projet et de son rôle central dans la modernisation de la métropole.

 

Terre des Hommes

L’idée de la tenue d’une exposition universelle à Montréal à l’occasion du centenaire de la Confédération canadienne remonte aux années 1950. Elle est proposée publiquement pour la première fois en 1958, à l’occasion de l’Exposition universelle de Bruxelles, à l’initiative du sénateur Mark Drouin et du maire de Montréal d’alors, Sarto Fournier. Le dossier est présenté au Bureau International des Expositions (BIE) en mars 1960, mais il est défait lors du vote de mai 1960 par la candidature de Moscou, avant que la délégation soviétique se retire en avril 1962. Le retrait de Moscou ouvre de nouveau la voie au projet montréalais, porté par le nouveau maire Jean Drapeau. Montréal est définitivement choisie par le BIE en mai 1962.

C’est donc en moins de cinq ans que le site des Îles Sainte-Hélène et Notre-Dame est aménagé à un coût de plus de 400 millions de dollars, grâce à plusieurs millions de tonnes de terre et de pierre provenant du lit du fleuve Saint-Laurent, de même que des excavations réalisées pour la construction du métro de Montréal. Pas moins de 847 édifices sont érigés sur le site et plus de 12 000 arbres y sont plantés. Pour le transport rapide des visiteurs d’un secteur à l’autre, une petite ligne de chemin de fer de 5,75 kilomètres, l’Expo-Express, est construite, ainsi qu’un mini-rail qui permet de faire une ballade aérienne à travers une partie du site.

Logo, Expo 67

Le thème de l’exposition, « Terre des Hommes », est choisi en 1963 à Montebello, à la suite d’une réunion d’intellectuels canadiens (écrivains, artistes, politiciens, professeurs), dont notamment l’écrivaine Gabrielle Roy. Dans une ère de tensions internationales, au cœur de la guerre froide et de la guerre du Viet-Nam, la volonté de réaffirmer l’idéal de solidarité humaine s’impose. Selon les mots du commissaire général d’Expo 67, Pierre Dupuy : « Le monde est en marche vers son unité ». Cet optimisme correspond bien à l’espoir que suscite alors le grand courant revendicateur des années 1960 pour la paix et la justice sociale. Cette foi réitérée envers le progrès universel de l’Homme place également l’exposition de 1967 en continuité avec les expositions précédentes qui annonçaient toutes, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, des lendemains prometteurs pour l’humanité par la voie des développements techniques. Cependant, chaque exposition exprimant une vision particulière du futur, caractéristique d’une époque donnée, il n’était pas question d’organiser à Montréal une compétition pacifique entre nations dans la présentation de nouveaux produits industriels, comme dans la seconde moitié du XIXe siècle. Même si la technologie va occuper une grande place dans maints pavillons nationaux. En 1967, la voie du futur est plutôt celle de la paix, du rapprochement et de la solidarité humaine, que symbolise le logo de l’Expo dessiné par l’artiste montréalais Julien Hébert. L'image représente l’amitié des hommes autour d’un globeNOTE 2, cette Terre qui, rappelons-le, avait récemment été photographiée pour la première fois, dans toute sa splendeur, depuis l’espace. Le thème général de l'exposition est par ailleurs supporté par cinq sous-thèmes : « L’Homme interroge l’univers », qui présente l’état de la recherche scientifique, « L’Homme à l’œuvre », qui porte sur les plus récentes inventions, « L’Homme dans la cité », illustrant les défis de la concentration urbaine, « L’Agriculture », qui met en évidence les défis alimentaires de la surpopulation, enfin « Le Génie créateur de l’Homme » qui rend hommage à la création artistique.

 

L’empreinte d’un évènement

Les retombées d’un tel évènement ne peuvent être mesurées, ni quantifiées précisément. L’Expo a durablement marqué les consciences de ceux et celles qui l’ont vécu, elle a transformé le paysage bâti montréalais, elle a donné un nom à l’équipe de baseball majeur de la ville de Montréal créée un an plus tard. Elle a accueilli des chefs d’État du monde entier, dont le Général de Gaulle qui a profité de l’occasion pour lancer l’une des phrases les plus célèbres de l’histoire québécoise contemporaine : « Vive le Québec libre! ». De profondes empreintes, matérielles et immatérielles, incluant plusieurs activités commémoratives soulignant le 40e anniversaire de l’évènement, en 2007, témoignent ainsi de l’importance patrimoniale d’Expo 67.

Le globe géodésique de Buckminster qui constituait le Pavillon des États-Unis.

Attardons-nous un moment au plus évident : le legs urbanistique et architectural. Chaque exposition universelle est l’occasion de mettre en place une restructuration urbaine, à commencer par le réseau de transports. Il est toujours délicat de distinguer les causes des effets entre la tenue d’une exposition universelle et la modernisation de la ville d’accueil, car bien qu’une exposition universelle permette la création de nouveaux projets urbanistiques, elle est surtout l’occasion de mener à bien des projets ambitieux déjà proposés. Dans le cas de Montréal, on constate d’abord la rénovation des réseaux de circulation autoroutiers (notamment l’autoroute Décarie et le tunnel Louis-Hyppolyte-Lafontaine) et ferroviaires, de même que l’édification de plusieurs grands édifices comme la Place Bonaventure, la Plaza Alexis Nihon et le Château Champlain. Les circonstances ont aussi permis de réorienter le développement immobilier du sud de la villeNOTE 3 et le retour vers le fleuve, tous deux catalysés par Expo 67. Pierre Dupuy le soulignera quelques années plus tard : « Ce que j’admire le plus, c’est qu’après tant d’années, le Montréalais puisse retrouver le Saint-Laurent dont il était séparé par les installations du port et qu’en même temps, il redécouvre sa ville dans son élan prodigieux de puissance ordonnéeNOTE 4 ».

Sur le plan architectural, le patrimoine des expositions universelles comprend quelques grands monuments mondialement connus, comme la Tour Eiffel, le Grand et le Petit Palais, le Palais du Trocadéro et l’Atomium de Bruxelles. À Montréal, si le site fluvial de l’Expo a laissé des fruits architecturaux à la périphérie des circuits touristiques traditionnels de la ville, les trois monuments que constituent le globe géodésique de Buckminster Fuller (aujourd’hui la Biosphère), Habitat 67 de Moshe Safdie classé monument historique depuis 2009, et le complexe du Casino de Montréal formé des anciens pavillons de la France et du Québec, occupent aujourd’hui une place centrale dans l’histoire architecturale contemporaine de Montréal.

Le Pavillon de la France, qui est aujourd’hui le Casino de Montréal

À cela s’ajoute un legs moins visible de l’exposition, qui est d’ordre commercial et organisationnel. La balance de l’évènement a été déficitaire de 221 millions de dollars mais cela n’inclut pas l’intense activité économique générée par l’Expo dans les divers secteurs de l’industrie touristique de la région de Montréal, de même que le rôle clé de cette manifestation dans le développement d’un savoir-faire commercial, logistique, administratif et culturel au Québec. Chaque nouvelle exposition universelle entend mettre à profit l’expérience organisationnelle des manifestations passées, et l’un des rôles principaux du BIE est précisément la transmission des savoir-faire administratifs d’une exposition à l’autre. Sur le plan local, Expo 67 a ainsi contribué au développement et à la diffusion d’une culture d’organisation de festivals et de grands évènements pour la ville de Montréal, en plus de positionner la muséologie québécoise et canadienne dans l'avant-garde mondiale. Roland Arpin, père du Musée de la civilisation de Québec, évoquait d'ailleurs Expo 67 comme une de ses grandes sources d'inspiration dans le domaine des expositions et du multimédia.

De manière plus générale, à l’échelle de la province, Expo 67 a posé son empreinte sur la mémoire collective des Québécois par sa capacité de symboliser la modernisation du Québec d’une manière spectaculaire et d’incarner, d’une certaine façon, l’élan collectif qui caractérise la période qu’on qualifie de Révolution tranquille. Encore aujourd’hui, le maire de Montréal Gérald Tremblay souligne le rôle central de l’évènement qui a notamment permis à Montréal de s’ouvrir au monde : « L’exposition universelle de 1967 a donné à Montréal un élan formidable dont elle a profité pour s’inscrire dans la modernité et élargir son rayonnement internationalNOTE 5 ».

 

Le devenir d’un site d’exposition universelle

Une fois retombée l’euphorie des célébrations, la question du devenir du site d’une exposition universelle est plus souvent qu’autrement épineuse pour les administrations dont les ambitions de conservation et de rentabilisation s’avèrent souvent irréalisables. Les frais d’entretien des pavillons éphémères qui ne sont pas construits pour durer, déposés sur le sol comme des chapiteaux de cirque, sont généralement trop élevés pour être pris en charge par les administrations publiques. Ce fait explique que, dans la grande majorité des cas, on démolisse les pavillons ou, parfois, qu'on déplace ceux qui sont rachetés. Dans le cas montréalais, trois semaines avant la fermeture de l’exposition, le 9 octobre 1967, le maire Jean Drapeau annonce sa volonté de garder sur le site une exposition permanente sur la thématique « Terre des Hommes ». Malgré l’appui du gouvernement fédéral et de nombreux pays participants, le succès de l’initiative est en deçà des espérances et l’exposition ferme définitivement ses portes en 1981. D’autres évènements internationaux contribueront cependant à la vie du Parc des Îles de Montréal (rebaptisé Parc Jean-Drapeau en 2000). Par exemple, pour les Jeux olympiques de Montréal de 1976, le Grand bassin de l’île Notre-Dame est réaménagé pour la tenue des compétitions d’aviron et de kayak. En 1978, une piste de course automobile est construite pour recevoir le Grand-Prix de Formule Un du Canada, puis, en 1980, le centre de l’île reçoit les Floralies internationales de Montréal.Plaque commémorant Expo 67 sur l’Île Notre-Dame

Aujourd’hui, en plus du parc d’attraction de La Ronde qui s’est maintenu en activité avec un certain succès, sept pavillons nationaux de l’Exposition sont toujours debout dans le parc Jean-Drapeau et font partie d’un circuit culturel gratuit. Cinq sont situés sur l’Île Notre-Dame : le pavillon du Canada qui abrite maintenant les bureaux de la Société du parc Jean-Drapeau ; le pavillon de la France qui a été reconverti en Palais de la Civilisation en 1985 pour l’accueil d’expositions et qui est devenu, avec le pavillon du Québec, le Casino de Montréal en 1993; le pavillon de la Jamaïque qui est loué comme salle de réception ; et le pavillon de la Tunisie. Deux sont situés sur l’île Ste-Hélène : le pavillon des Etats-Unis de Buckminster Fuller qui est devenu depuis 1995 un musée sur l’environnement, la Biosphère, et le pavillon de la Corée dont ne subsiste que la structure en bois. Par ailleurs, le circuit culturel présente aussi de nombreuses œuvres d’art construites pour Expo 67, dont l’imposante sculpture « l’Homme » d’Alexander Calder, le « Signe solaire » de Jean leFébure et le Totem Kwakiutl des artistes aborigènes Tony et Henry Hunt pour le Pavillon des Premières Nations. Sur la pointe sud de l’Île Sainte-Hélène, la Place des Nations, lieu des grandes cérémonies officielles lors d’Expo 67 est toujours présente bien qu’inutilisée; son rôle est mis en valeur par des panneaux d’interprétation.

 

Le retour des Expos au XXIe siècle

C’est le lot des expositions universelles d’être éphémères, laissant leurs traces matérielles s’éparpiller dans les mémoires et les boîtes de souvenirs des collecteurs. Pourtant, signe des temps, la mise en valeur des expositions universelles, si coûteuse matériellement, s’est virtualisée pour trouver une nouvelle vitalité patrimoniale sur la toile. L’Expo 2010 de Shanghai inaugura, en plus d’un musée permanent d’histoire des expositions universelles, une première exposition universelle virtuelleNOTE 6. En France, un gigantesque projet de reconstitution 3D de l’Exposition de Paris de 1900 est mené depuis quelques annéesNOTE 7. De plus, les sites web d’amateurs qui échangent leurs souvenirs et leurs documents digitalisés pullulent sur la toile. Dans cette lignée, en 2007, pour le 40e anniversaire d’Expo 67, de nombreuses expositions virtuelles sont lancées pour commémorer l’évènement. Notamment, Bibliothèque et Archives Canada met en ligne l’exposition « Expo 67… une expérience virtuelleNOTE 8 ». La Ville de Montréal propose elle aussi sur son site web un dossier intitulé « Les 40 ans de l’Expo 67 » et la Société Radio-Canada, en plus de produire un DVD documentaire sur l’évènement en collaboration avec Imavision, diffuse une exposition virtuelle sur le site web de ses archivesNOTE 9.

Au riche calendrier d’activités mis en place à Montréal pour commémorer les 40 ans de la manifestation, il faut ajouter une exposition de photographies à La Biosphère portant sur l’impact environnemental de la construction des îles, et l’exposition « Expo 67, passeport pour le monde ». Cette dernière, produite par le Centre d’histoire de Montréal et présentée dans le Parc aquatique construit pour Expo 67, avait pour but de faire revivre l’ambiance et l’esprit de « Terre des HommesNOTE 10 ».

Les Expos sont-elles de retour dans l’air du temps? Sans doute. Alors que le monde affronte de nouveaux défis d’ordre environnemental, les grandes expositions universelles reviennent au devant de la scène au Japon (Aichi 2005), en Chine (Shanghai 2010) et en Italie (Milan 2015)pour explorer de nouveaux futurs.



Van Troi Tran
Chercheur postdoctoral
Harvard University

 

NOTES

1. Cité dans Samy Mesli, « L’Expo 67 dans la presse française : la vision du Québec dans l’Hexagone », Bulletin d’histoire politique, vol. 17, no 1, automne 2008, p. 67.

2. Interview de Julien Hébert à Radio-Canada [en ligne], http://youtu.be/srGgWVJmHwI.

3. France Vanlaethem, « Architecture et urbanisme : la contribution d’Expo 67 à la modernisation de Montréal », Bulletin d’histoire politique, vol. 17, no 1, automne 2008, p. 121-133.

4. Pierre Dupuy, Expo 67 ou La découverte de la fierté, Montréal, La Presse, 1972, 237 p.

5. Ville de Montréal, « Témoignages », Les 40 ans de l'Expo 67 [en ligne], http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4337,5950097&_dad=portal&_schema=PORTAL.

6. Expo Shangai Online [en ligne], exposition virtuelle, http://en.expo.cn/.

7. Laurent Antoine Lemog, Exposition universelle Paris 1900 : le projet... le film 3D  [en ligne], http://lemog.fr/lemog_expo_v2/index.php.

8. Bibliothèque et Archives Canada, Expo 67... une expérience virtuelle [en ligne], exposition virtuelle, http://www.collectionscanada.gc.ca/expo/053302_f.html.

9. Archives de Radio-Canada, Les 40 ans d'Expo 67 [en ligne], exposition virtuelle, http://archives.radio-canada.ca/fr/expo67/.

10. Une liste des activités organisées pour commémorer l’Expo peut être consultée sur le site de la Ville de Montréal [en ligne], http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4337,5681572&_dad=portal&_schema=PORTAL.

 

BIBLIOGRAPHIE

Curien, Pauline, « Une catharsis identitaire : l’avènement d’une nouvelle vision du Québec à Expo 67 », Anthropologie et sociétés, vol. 30, no 2, 2006, p. 129-151.

Dupuy, Pierre, Expo 67 ou La découverte de la fierté, Montréal, La Presse, 1972, 237 p.

Jasmin, Yves, La petite histoire d’Expo 67, Montréal, Québec Amérique, 1997, 461 p.

Mesli, Samy, « L’Expo 67 dans la presse française : la vision du Québec dans l’Hexagone », Bulletin d’histoire politique, vol. 17, no 1, automne 2008, p. 63-78.

Vanlaethem, France, « Architecture et urbanisme : la contribution d’Expo 67 à la modernisation de Montréal », Bulletin d’histoire politique, vol. 17, no 1, automne 2008, p. 121-133.

Sites Internet :

Archives de Radio-Canada, Les 40 ans d'Expo 67 [en ligne], exposition virtuelle, http://archives.radio-canada.ca/fr/expo67/.

Bibliothèque et Archives Canada, Expo 67... une expérience virtuelle [en ligne], exposition virtuelle, http://www.collectionscanada.gc.ca/expo/index-f.html.

ExpoMuseum, The World’s Fair Museum [en ligne], http://www.expomuseum.com/.

Expo Shangai Online [en ligne], exposition virtuelle, http://en.expo.cn/.

Parc Jean-Drapeau [en ligne], http://www.parcjeandrapeau.com/.

Ville de Montréal, Les 40 ans de l'Expo 67 [en ligne], exposition virtuelle, http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4337,5681774&_dad=portal&_schema=PORTAL.

Documents complémentairesCertains documents complémentaires nécessitent un plugiciel pour être consultés

Vidéo
  • Expo 67 (Film muet) Une maquette détaillée du projet de l'exposition universelle de Montréal de 1967 permet de mesurer toute l'étendue de ce projet grandiose. Puis une vue aérienne montre l'avancement des travaux. Ingénieurs et travailleurs sont à l'œuvre pour mener à bien l’aménagement du site. On voit notamment l'édification de la gigantesque sphère abritant le pavillon des États-Unis et celles des nombreuses autres installations. Enfin, c’est le jour de l'ouverture et de nombreux visiteurs envahissent le site.
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