Val-Jalbert, la valorisation touristique d’un patrimoine du XXe siècle

par Gagnon, Gaston

Chute Ouiatchouan, Val-Jalbert, 2010-05-20

Pour les férus et les curieux, Val-Jalbert se présente sous deux aspects : un village fantôme devenu attrait touristique et un village modèle, berceau de l'architecture moderne et de la forme urbaine au Saguenay-Lac Saint-Jean. Derrière cette double évocation, une histoire économique et sociale se déploie entre 1901 et 1927 autour de la fabrication de la pâte à papier, un secteur économique très important pour le développement du Québec aux XIXe et XXsiècles. Aujourd'hui, des éléments matériels encore en place à Val-Jalbert témoignent des difficultés qu'a connues cette industrie, au point de conduire à la fermeture et à l'abandon de Val-Jalbert. Ces spécificités ont valu au village d'être classé en vertu de la Loi sur les biens culturels du Québec. Mais il a fallu compter sur une mobilisation et des efforts constants pour que cette reconnaissance se produise et que ce patrimoine d'exception devienne l'un des hauts lieux du tourisme culturel du Québec.

 

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Un patrimoine à regards multiples

Le Village historique de Val-Jalbert est situé à mi-chemin entre la municipalité de Chambord et la Ville de Roberval dans la MRC du Domaine-du-Roy au Lac-Saint-Jean. D'une superficie de 1,7 kilomètres carrés dans le canton Charlevoix, il s'étend, suivant une direction nord-sud, dans l'axe de la rivière Ouiatchouan depuis la chute Maligne, au sommet du massif laurentien, jusqu'à l'embouchure du lac Saint-Jean. En plus d'expliquer la localisation d'un centre industriel, la chute Ouiatchouan, d'une hauteur de 72 mètres, a rapidement fait la renommée du lieu au point d'être représentée, par Guido Nincheri, dans la grande verrière de la bibliothèque de l'Assemblée nationale du Québec, en 1916.

Val-Jalbert

Lors de la désignation de Val-Jalbert comme site historique, le ministère de la Culture et des Communications identifiait en 1996 un ensemble de 94 bâtiments et vestiges. Il y recensait aussi des équipements mécaniques et hydrauliques, un site archéologique préhistorique et des infrastructures de services. Parmi les bâtiments inventoriés, on retrouvait des édifices occupés, puisque restaurés, comme l'usine de pâte à papier, le couvent-école,le magasin général et son hôtel, sans oublier les quatre maisons doubles de la rue Saint-Georges utilisées pour l'hébergement touristique. On répertoriait également des édifices encore debout, mais plus ou moins habitables, dont quatre du côté de la rue Saint-Georges, trois sur la rue Saint-Joseph et une dizaine sur les avenues Dubuc et Tremblay. D'autres bâtiments étaient ruinés ou en processus de ruinification, en particulier la maison du surintendant et surtout les maisons de l'avenue Labrecque, l'autre image emblématique et promotionnelle de Val-Jalbert avec sa chute. Enfin, on identifiait des fondations dissimulées à travers la végétation, notamment celles de la rue Saint-Georges en direction de l'usine et celles du presbytère et de l'église datant de 1924, les derniers édifices construits sur le site.

Ces caractéristiques particulières, inscrites dans le décor naturel de la Boréalie québécoise et dans la mystique de l'usure du temps, sont au cœur du processus de valorisation de Val-Jalbert et de sa mise en tourisme.

L'énoncé d'importance du Répertoire des biens culturels du Québec et du Répertoire canadien des lieux patrimoniaux dresse une description de ce site classé, en plus d'identifier les éléments à conserver et à protéger pour assurer la pérennité de son identité. Cet énoncé, reflet d'une gestion du patrimoine par ses valeurs, contribue à enrichir la documentation écrite sur Val-Jalbert en complément de travaux d'historiens renommés comme Alfred Dubuc ou Luc Noppen. Pour ce dernier, spécialiste de l'histoire de l'architecture et du patrimoine, Val-Jalbert est un monument unique du fait que, bien qu'il détienne :

« [...] un statut de musée de plein air, il n'est pas un de ces parcs recomposés à l'aide d'édifices et d'objets recueillis ailleurs [...]. En outre, il n'est pas un établissement de l'ère traditionnelle, mais un site industriel, plus près des modèles de New Lanark en Écosse, qui a obtenu un statut de site du patrimoine mondial, de Ironbridge et du Beaumish Open Air Museum. Mais, même parmi ces références, Val-Jalbert demeure exceptionnel puisqu'il s'agit d'un ensemble urbain planifié, l'un des plus anciens du Québec » (BG, 1994, p.62).

En effet, la trame morphologique du village érigé autour de la chute et de l'usine, de même que les quatre types de maisons ouvrières, avec les utilités publiques qui les accompagnent (eau courante, égout, électricité et téléphone), révèlent le caractère d'avant-garde de l'établissement dans une modernité alors en construction. Les photographies des Notman, Lemay ou Chabot le font voir magnifiquement mais, plus encore, la vue en oblique de la Canadian Airways de 1930. Par l'alignement des rues, la division des propriétés et la structuration de l'espace institutionnel et commercial, ainsi que par la qualité du cadre bâti d'influence vernaculaire étasunienne, les traits marquants du site attestent la singularité de ce village modèle de compagnie.

Pourtant, au-delà de sa forme urbaine qui lui est spécifique, précurseur au Saguenay-Lac-Saint-Jean des villes de Kénogami (1912), Port-Alfred (1916), Isle-Maligne (1924), Riverbend et Arvida (1925), puis Dolbeau (1927), le village de Val-Jalbert se démarque également par l'intérêt de son bâtiment industriel.

25 - Usine

Non seulement l'usine témoigne, par sa forme rectangulaire, par ses fondations en béton et par sa charpente en acier, d'une construction en trois temps selon la croissance des marchés américain et britannique, mais son intérieur renferme une série d'équipements d'origine, qui a peu de comparable au Canada et aux États-Unis. Parmi ces pièces, on remarque une chaufferie et une centrale hydroélectrique pour l'usine et le village. Des turbines de marque S. Morgan Smith et six écorceurs à disque et à structure d'acier, fabriqués à Carthage dans l'État de New York, à Hamilton en Ontario ainsi qu'à Lévis et à Chicoutimi, s'y retrouvent également. De plus, on compte un défibreur à godets, six chariots à bois et trois presses avec leurs pompes et accumulateurs hydrauliques. À l'extérieur de l'usine, d'autres éléments subsistent qui rappellent la diversité de l'activité industrielle. De ces composantes, mentionnons les vestiges de la scierie située à plus d'un kilomètre en amont dela chute. Soulignons aussi le canal d'amenée d'eau en béton, aménagé en promenade près du téléphérique avec sa vue panoramique imprenable sur le village et sur le lac Saint-Jean. Signalons enfin, le « cimetière demeules » à proximité de l'ancien bureau de la compagnie, et plusieurs sections de voie ferrée longeant la rue Saint-Georges jusqu'à l'usine.

Tout en permettant de reconstituer la chaîne de production, ces équipements font ainsi de Val-Jalbert un site plus complet que celui de la Pulperie deChicoutimi pour saisir et interpréter, sur un plan technique, l'âge d'or del'industrie québécoise de la pâte mécanique.

 

Une occupation ancienne et moderne

Sur un autre plan, cinq zones distinctes marquent l'évolution du village et la richesse de son occupation.

La première zone, qui correspond à la plus ancienne occupation humaine connue à ce jour, est le site DcFa-2 sur la rive ouest de la rivière Ouiatchouan, entre le pont ferroviaire du Canadien National et la route régionale 169. Le matériel lithique retrouvé là par les archéologues remonte à 5 500 ans avant Jésus-Christ.

Bénédiction de la pulperie de Val-Jalbert, 1902

La seconde zone est celle des moulins hydrauliques construits entre 1861 et 1901 sur les lots 20 et 21 du canton Charlevoix, depuis l'entrée du village jusqu'à l'île de quinze acres formée par la rencontre du ruisseau Ouellet et de la première chute de la rivière Ouiatchouan.

La troisième zone du site réfère à l'aménagement d'une pulperie en contrebas de la chute Ouiatchouan par la Compagnie de pulpe de Ouiatchouan et son fondateur Damase Jalbert originaire de Lac Bouchette entre 1901 et 1908. De plus, la compagnie fait bâtir neuf maisons pourvues en électricité et en eau courante, sur la rue Saint-Georges, en face de l'usine, afin de loger et de garder ses travailleurs. En même temps, une maison utilisée comme chapelle pourvue d'une trentaine de bancs est édifiée pour les besoins du culte des 23 familles de Val-Jalbert. Une photo d'Eudore Lemay de Chicoutimi immortalise vers 1906 ce cœur de village, dont évoquent aujourd'hui deux maisons près de l'esplanade et plusieurs fondations comme celle de la chapelle dissimulée sous la végétation.

La quatrième zone du site renvoie au développement des rues Saint-Georges et Saint-Joseph, entrepris par la Ouiatchouan Falls Paper Company entre 1908 et 1914. Pendant ces années, cette compagnie fait construire une chambre des meules avec une annexe, toutes deux en pierre, qui s'avance sur l'esplanade pour accueillir les nouveaux équipements. Elle cède ensuite un terrain pour l'implantation d'une église, d'un presbytère et d'une école. Enfin, pour répondre aux besoins de logement, l'entreprise lance la construction d'une vingtaine de maisons de chaque côté de la rue Saint-Georges, qui est alors macadamisée, dotées de trottoirs de bois et bordées de grands arbres. Un second quartier du côté du plateau est aussi ouvert avec cinq maisons. Ces nouvelles constructions sur la rue Saint-Joseph coïncident avec le changement de toponyme du village, les « Chutes Ouiatchouan » devenant Val-Jalbert, en hommage à Damase Jalbert, décédé subitement en avril 1904.

Val-Jalbert en 1930

La cinquième zone inclut celle du quartier institutionnel et commercial, de même que celle du plateau. Elle couvre les années 1914 à 1927, une période pendant laquelle la Compagnie de pulpe de Chicoutimi acquiert les actifs de la Ouiatchouan Falls Paper Company pour 1,2 millions de dollars. C'est l'époque où le site connaît son apogée sous la conduite de Julien-Édouard-Alfred Dubuc, son directeur gérant depuis 1907, et du surintendant Adolphe Lapointe, présent à Val-Jalbert depuis 1909.

 

Un village abandonné et retrouvé

Considéré comme un véritable village modèle « répondant aux exigences des idées modernes », Val-Jalbert devient graduellement par la suite, sur une période d'une trentaine d'années, une cité morte, un village fantôme.

Avec le départ des 950 habitants, qui s'amorce en 1924 avec l'arrêt momentané de l'usine, et qui s'intensifie lors de son arrêt définitif en 1927 à la suite de la dégringolade des marchés, avant d'être ordonné en 1929 par la Quebec Pulp andPaper Corporation, les 80 maisons de la compagnie sont fermées et placardées. La seule exception est l'hôtel, où loge le nouveau surintendant, l'ingénieur René Bélanger, arrivé à Val-Jalbert avec sa famille en janvier 1927.

La vie ouvrière étant arrêtée, le curé Joseph-Edmond Tremblay et les religieuses du Bon-Conseil de Chicoutimi, qui assuraient l'enseignement des élèves depuis 1915, quittent la paroisse en septembre 1929. Attachées au lieu, une dizaine de familles se regroupent autour de ce qu'on appelle le « Petit Val-Jalbert » en bordure de la route régionale, certains chefs de familles continuant à s'impliquer dans le conseil municipal et dans la commission scolaire de Val-Jalbert. La cloche de l'église est enlevée en 1930 et installée dans l'église de Saint-Eugène au nord du Lac Saint-Jean. En 1932,le presbytère est démonté et déménagé à Saint-Edmond-des-Plaines avec les bancs et les objets liturgiques de l'église. Finalement, entre 1937 et 1943, plusieurs équipements de l'usine sont, à leur tour, démantelés et vendus, notamment à la Price Brothers Company pour son usine à papier de Riverbend. Un an plus tard, un journaliste du Petit Journal découvre une « ville fantôme » au Lac Saint-Jean et se demande si ce « souvenir », cette «  page d'histoire » et cet « objet de curiosité » qu'est Val-Jalbert « renaîtra un jour pour connaître de nouveau la vie qui la caractérisait jadis ? NOTE 1».

En 1949, les actifs immobiliers de la Quebec Pulp and Paper Corporation, dont ceux de Val-Jalbert, passent aux mains du gouvernement du Québec après sa banqueroute pour des redevances impayées sur le réservoir du lac Kénogami depuis 1923. Le ministère des Ressources hydrauliques se voit confier l'administration du site qui, malgré sa désolation, a conservé son âme. Divers projets industriels sont avancés sans succès.

C'est alors qu'à compter de 1956, mais surtout de 1961, des élus locaux en viennent à se demander s'il ne faudrait pas mieux brûler Val-Jalbert plutôt que de le sauver. Ce questionnement suscite l'intérêt des médias et de la Chambre de commerce de Roberval qui songe à transformer le « village fantôme » en un centre touristique en prenant pour base la fondation d'une école d'hôtellerie, d'une pisciculture et d'un camping. Le 13 février 1962, René Lévesque, ministre des Richesses naturelles, souscrit au changement de vocation et autorise le transfert du domaine de Val-Jalbert à l'Office du tourisme du Québec afin de l'intégrer à son réseau de parcs, notamment sur les conseils de l'ingénieur René Bélanger, anciennement de la Quebec Pulp and Paper. Le 24 juin 1963, la barrière du site est enfin levée et le « village fantôme renaît à la civilisation ».

 Vue de la rue Saint-Georges en 1974

Cette orientation fixe le devenir du site dans le circuit touristique du Québec. Plusieurs projets de développement seront proposés par ses propriétaires successifs, avant que le propriétaire actuel, la Corporation du parc régional de Val-Jalbert, ne reçoive une aide financière de près de 20 millions de dollars en 2009-2010, de la part des trois paliers de gouvernement, pour la conservation et la mise en valeur du lieu. Le projet en cours de réalisation se fonde sur la mission de l'organisme qui est de « conserver et mettre en valeur de manière durable un site patrimonial et touristique, dont les fondements reposent sur son histoire, ses vestiges ainsi que sur la qualité de son paysage bâti et naturel ». Il a pour objectif d'assurer la pérennité du patrimoine de Val-Jalbert, de renouveler le service d'accueil et d'hébergement ainsi que le programme d'interprétation, en plus d'initier un circuit de découverte hors du village à partir principalement des neuf institutions muséales du Lac Saint-Jean, membres du Réseau muséal et patrimonial de la région.

En complément à ce projet de mise en valeur, dont l'échéancier s'étend jusqu'en 2013, un projet de construction d'une minicentrale hydroélectrique est en cours d'élaboration à Val-Jalbert en prenant en compte les variables paysagère et archéologique. La Société d'énergie communautaire du Lac-Saint-Jean, formée du Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean et des MRC Le Domaine-du-Roy et Maria-Chapdelaine, est l'instigatrice du projet en partenariat avec la Corporation du parc régional de Val-Jalbert. Une partie des profits générés par la vente de l'électricité servira au maintien des actifs du site et à la valorisation du territoire local. Ainsi, à travers le temps, la rivière Ouiatchouan aura prouvé à plusieurs occasions qu'elle est au service du milieu et créatrice de patrimoine.

 

Gaston GAGNON

historien et muséologue

MCCCF

 

 

NOTE

NOTE 1: Le Petit Journal, Montréal, 24 septembre 1944 (hebdomadaire).

 

BIBLIOGRAPHIE

Cet article s'appuie sur les Fonds Dubuc, René Bélanger et Mgr Victor Tremblay conservés au centre régional du Saguenay-Lac-Saint-Jean de la Bibliothèque et archives nationales du Québec et du Fonds Val-Jalbert déposé au Centre agréé d'archives de la MRC Le Domaine-du-Roy. De plus, les documents ci-dessous ont été pris en compte, à savoir :

BERGERON-GAGNON Inc. et Luc NOPPEN, Plan de conservation et de mise en valeur du Village historique deVal-Jalbert, rapport final, avril 1994, 84 p. et annexes.

BELANGER, Lise, TREMBLAY, Manon, ELLEFSEN, Hans etLANGEVIN, Érik, « Une occupation amérindienne à l'embouchure de la rivièreOuiatchouane : le site DcFa-2 », Saguenayensia, vol 40, no 1, janvier-mars 1998, p. 38-42.

BLANCHETTE, J.-F., GENDRON, P. Val-Jalbert et son histoire, Chicoutimi, 1983, 75 p.

BOUCHARD, Russel, Val-Jalbert : un village-usine au royaume de la pulpe, Histoire des municipalités, numéro 2, Louiseville, Ed. Gagné, 1986, 40 p.

BRUGERON, André, « Val-Jalbert (Québec) : Grandeur et décadence d'une mono-industrie : Les vicissitudes d'une usine de pulpe au Québec au XXe siècle », Norois, no 66, 17e année, avril-juin 1970, p. 255-262.

DOLBEC, Louise, Val-Jalbert, dossier ethnologique, s.l., 30 avril 1982, Archives du centre dedocumentation de Val-Jalbert, pièce 9.

DUBUC, Alfred, « Val-Jalbert : une géographie,une histoire, un patrimoine », dans Patrimoine industriel et musée de site, Actes du 9e congrès del'Association québécoise pour le patrimoine industriel, Chicoutimi 30-31 mai et 1er juin 1996, p. 11-26.

GAUTHIER, Sylvie, Val-Jalbert, un village ouvrier inscrit dans la révolution industrielle : typologie du paysage bâti, Mémoire de maîtrise en étude des arts, UQAM, juillet 1991, 233 p.

GAGNON, Gaston, La Pulperie de Chicoutimi : Histoire et aménagement d'un site industriel, Ville de Chicoutimi et ministère des Affaires culturelles, 1988, 233 p.

GAGNON, Gaston, « Val-Jalbert : fiche de présentation en recommandation de demande de classement comme site historique », Chicoutimi, ministère de la Culture et des Communications, 3 juin 1996, 8 p. avec annexes.

HARVEY, Anny et MARCOUX, Caroline, « Quand tout gravite autour d'une usine : Val-Jalbert, village de compagnie », Saguenayensia, vol 45, no 3, juillet-septembre 2003, p. 23-29, texte tiré de : Harvey, Anny, De Ouiatchouan à Val-Jalbert : Guide d'interprétation historique, Village historique de Val-Jalbert, mai 1955,53 p.

NOPPEN, Luc, « Aux origines des « villes de compagnie » du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le village historique de Val-Jalbert », dans Le Saguenay-Lac-Saint-Jean, architecture/identité, ARQ, la revue d'architecture, no 94, décembre 1996, p. 10-11.

PICARD, François, « Val-Jabert, musée à ciel ouvert : Analyse du potentiel archéologique et ethnographique du site », Étude réalisée pour le ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche, 15 juin 1982, 29 p.

Village historique de Val-Jalbert. Plan de développement. Rapport final. Juin 2002, 59 p.

 

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