Patrimoine archéologique des cimetières anciens du Québec

par Oliver-Lloyd, Vanessa

Une statue funéraire du cimetière St-Paul à Aylmer

Les cimetières anciens et leur patrimoine bâti ont de tout temps été considérés comme des éléments importants du patrimoine québécois. Or, la valeur patrimoniale des anciens cimetières ne se limite pas à ce qui est visible. Un grand nombre de cimetières désaffectés existe encore au Québec. Malgré l'absence de bâti, ces cimetières possèdent un patrimoine enfoui essentiel : le patrimoine archéologique. Ce qui est visible dans le cimetière reflète ce qui se trouve dans la terre : même lorsque le bâti disparaît, la disposition et les restes des défunts ont une signification. Le sol du cimetière parle donc autant que son bâti, sinon davantage. L'archéologie funéraire, qui a pour mission d'interpréter ces informations souterraines, se décline en deux volets complémentaires : les pratiques funéraires et l'analyse des restes humains.


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Les vivants face à la mort

Une sépulture du cimetière de Rimouski

Chaque société développe des façons différentes de réagir face à la mort et le traitement accordé aux défunts varie donc beaucoup. À la multiplicité des messages conviés par ces pratiques, se greffe la variation des modes d'inhumation dans le temps. Les pratiques funéraires concernent tout le rituel funéraire : de la préparation du corps à l'envoi des cartes mortuaires, des funérailles à la mise en terre. L'importance de la compréhension des pratiques funéraires réside dans le fait que chaque sépulture constitue un ensemble significatif, issu d'un comportement volontaire et dont le sens peut être retrouvé par l'archéologue. L'archéologie funéraire permet donc de rendre compte des attitudes de nos ancêtres face à la mort et de leur évolution dans le temps, grâce à une analyse ancrée à la fois dans le matériel (artefacts) et dans l'immatériel (croyances). Cette tâche s'accomplit de façon bipartite : la compréhension des modes d'inhumation et l'analyse des ossements humains. Les modes d'inhumation accessibles aux archéologues sont l'utilisation de l'espace, les types d'enterrement, le traitement du corps et la culture matérielle funéraire.

 

Les modes d'inhumation

L'utilisation de l'espace du cimetière

Deux défunts inhumés tête-bêche dans le cimetière de Ste-Marie-de-Beauce

L'attention portée à l'utilisation de l'espace offre un portrait de l'évolution spatiale du cimetière dans le temps. Elle permet de déterminer l'orientation des sépultures, qui fait partie des critères permettant à l'âme du défunt de se rendre dans l'au-delà. Plusieurs facteurs déterminent cette orientation : les croyances religieuses, les notions d'esthétisme ou une utilisation qui diffère de la norme, lors d'épidémies par exemple. En réalité, dans la plupart des cimetières, les fidèles sont inhumés perpendiculairement à l'église, les pieds vers celle-ci. Ainsi, lorsqu'ils se relèveront lors des derniers jours, ils iront vers le lieu de culte.

L'analyse de l'espace permet de déterminer la profondeur des inhumations. Les sépultures anciennes sont souvent très proche de la surface, puisque les considérations sanitaires de l'époque n'étaient pas les mêmes que de nos jours. Rappelons également que les cimetières québécois, de par leur forme et leur utilisation, sont le fruit d'une évolution graduelle et d'emprunts aux cimetières européens et américains (NOTE 1).

Le type d'enterrement

La norme au Québec est l'enterrement primaire individuel : une seule personne a été inhumée suite à son décès et sa sépulture n'a pas été relocalisée. Un enterrement secondaire est constitué de toute sépulture ayant été déplacée de son emplacement originel. Ce type d'enterrement est assez commun au Québec puisque presque tous les champs des morts ont connu un agrandissement à un moment de leur existence. Un enterrement multiple indique que l'on retrouve plusieurs individus dans la même sépulture. Ce type d'enterrement nous renseigne sur des évènements précis. Par exemple, l'utilisation de fosses communes était de mise lors d'épidémies. Les enterrements multiples parlent également des dynamiques familiales, comme lorsqu'une mère est enterrée avec son enfant.

Le traitement du corps

Noeud papillon sur un défunt du cimetière de St-Frédéric-de-Beauce

Cet aspect concerne tout ce qui entoure la préparation du cadavre : l'habillement, l'inclusion dans un cercueil ou non, l'utilisation de linceuls, la position dans le sol. Avant le XIVe siècle, la plupart des défunts étaient inhumés nus, enroulés dans des linceuls. Plus récemment, les morts sont vêtus de leurs plus beaux atours lors de l'enterrement. Le tissu se conservant mal dans le sol québécois, la présence de boutons permet de déduire si l'individu était habillé ou non. Lorsque le défunt était inhumé nu, la présence d'épingles de cuivre autour des os permet de croire qu'il était enroulé dans un linceul. Une fois préparé pour son dernier voyage, le corps est habituellement déposé dans un cercueil, en position allongée, sur le dos. La position des avant-bras est ce qui varie le plus : ils peuvent être allongés, repliés ou croisés. Dans certains cas, un objet de piété, tel un chapelet, peut être enroulé autour des mains.

La culture matérielle funéraire

Poupée de porcelaine trouvée dans un cercueil d'enfant du cimetière de St-Frédéric-de-Beauce

La présence d'artefacts dans les sépultures peut être reliée aux croyances religieuses, à la démonstration des sentiments des proches face au défunt, au fait de marquer l'influence et la place qu'occupait celui-ci dans la société et aux notions de modes et de popularité (NOTE 2). Les artefacts funéraires se déclinent en trois catégories : les objets personnels, les objets religieux et la quincaillerie funéraire.

La première catégorie concerne tout ce qui est inclus dans la sépulture et qui touche le défunt en tant qu'individu. Ceci inclut l'habillement (reflet à la fois du genre et du statut socio-économique du défunt), les éléments de parure (bijoux, boutons de manchettes, etc.) et les objets personnels (jouets, etc.). Ces artefacts mortuaires sont importants puisqu'ils envoient un message au sujet de la personne décédée et du groupe auquel il appartient. Il est d'ailleurs très émouvant de retrouver un jonc cerclant le doigt d'un défunt ou de mettre au jour une poupée de porcelaine dans une sépulture d'enfant.

La deuxième catégorie de culture matérielle funéraire comprend tous les menus objets de culte (médailles, chapelets, scapulaires) qui peuvent être placés avec les morts. Ils témoignent des croyances de l'époque et accompagnent le défunt pour son grand voyage. Par exemple, la fouille du cimetière de Terrebonne a révélé qu'un grand nombre de défunts avaient été enterrés avec des médailles à l'effigie de Ste-Philomène, sainte patronne des enfants. Il est intéressant de noter que la mortalité infantile était particulièrement élevée à Terrebonne à cette époque (NOTE 3). L'inclusion de médailles se voulait un moyen d'invoquer la clémence face à ce fléau.

Croix mise au jour proche du cou d'un défunt du cimetière de Rimouski

La dernière catégorie englobe tout ce qui a trait à la construction des cercueils, qui peuvent être de forme hexagonale ou rectangulaire, et tout ce qui constitue la quincaillerie de cercueil : clous, poignées, plaques décoratives, etc. Ces artefacts permettent aussi de comprendre le statut socio-économique du défunt et de sa famille, selon qu'ils soient fabriqués en or ou en fer, par exemple. Mais celle-ci rend également compte des croyances et des tendances anciennes. Avant le XIXe siècle au Québec, les cercueils étaient rarement décorés. Puis, avec le développement de l'industrie funéraire, l'on commence à offrir des cercueils ornés de plaques décoratives. Elles sont à motifs variés et souvent religieux tels que des gerbes de blé ou des pleureuses au pied de la croix. Les plaques offrent de courtes épitaphes concernant l'état du défunt : «Au repos» ou «Our babe» par exemple. La peur d'être enterré vivant a mené à la fabrication de cercueils ornés d'une vitre au niveau du visage du défunt, une pratique bien documentée dans les cimetières québécois.

Tous ces éléments font partie des modes d'inhumation. Ils sont le reflet des attitudes face à la mort mais aussi des conceptions sociales de nos ancêtres. Avant le XIXe siècle, les lots individuels n'existaient pas dans les cimetières. Il n'était donc pas important de commémorer la personne décédée. Puis, avec l'avènement du lot individuel et familial, une plus grande place est accordée à la personne inhumée et à sa mémoire. C'est à ce moment que l'on voit apparaître les monuments funéraires et les décorations de cercueils élaborés. Cette évolution des mentalités se documente par la fouille des cimetières anciens. C'est pourquoi il est essentiel de reconnaître l'importance de leur tissu archéologique : il abrite un patrimoine riche et méconnu, celui des artefacts funéraires certes, mais également celui des restes humains.

 

L'analyse bioarchéologique

Dans les cimetières désaffectés, quand les stèles qui fournissaient l'information sur les défunts n'existent plus, les ossements permettent de retrouver une partie de cette information. L'analyse des restes humains contribue donc à mieux comprendre les dynamiques des populations anciennes, même s'ils nous ramènent à notre propre mortalité. Les études bioarchéologiques, par le fait qu'elles peuvent être confrontées aux données historiques, permettent de corriger ou de nuancer certaines affirmations. Bien que des paroisses disposent d'écrits précis, il se trouve qu'une grande partie des informations recherchées sur les personnes décédées n'est pas consignée dans les documents d'archives. L'analyse ostéologique peut pallier à ces manquements et permet donc de mieux comprendre les us et coutumes passés liés à la mort.

La démographie ancienne

La première étape à franchir lors de l'analyse de restes humains est l'estimation de l'âge au décès et du sexe de chaque individu. Ceci permet d'étudier la démographie ancienne et de définir le taux de mortalité pour chaque sous-groupe. Des liens entre le sexe des défunts et leur distribution spatiale peuvent mener à la découverte de pratiques funéraires insoupçonnées. Il est notoire que les jeunes enfants ne se trouvent pas toujours dans les actes de décès. Dès le XIXe siècle, un secteur du cimetière était spécifiquement réservé aux sépultures d'enfants. La découverte et l'analyse de leurs ossements permet de mieux comprendre la mortalité infantile aux siècles précédents.

Les pathologies

Crâne d'enfant provenant du cimetière St. Matthew à Québec

Les états pathologiques se divisent en plusieurs rubriques. L'identification des carences alimentaires permet de comprendre comment mangeaient et vivaient les membres de ces communautés anciennes. Pendant les mois d'hiver, les populations québécoises étaient particulièrement vulnérables à la carence en vitamine D qui affecte les os longs en les faisant courber. L'identification des maladies infectieuses livre d'autres informations sur le style de vie des gens dans le passé, sur leur statut nutritionnel et les conditions sanitaires dans lesquelles ils vivaient. L'éclosion de maladies contagieuses, comme la tuberculose, était favorisée par des conditions sanitaires douteuses ou par un accès à de l'eau contaminée.

L'étude des problèmes bucco-dentaires livre beaucoup d'informations sur les modes de vie, les pratiques culturelles et les habitudes alimentaires et hygiéniques. Ainsi les populations mieux nanties souffrent plus souvent de caries parce qu'elles ont accès à de la nourriture sucrée. L'étude des traumatismes est tout aussi importante puisqu'elle permet de comprendre les conditions de vie de l'individu ainsi que les pratiques culturelles et médicales de la population duquel il provient. Selon l'emplacement de la fracture, l'on peut parfois statuer sur le type d'emploi qu'occupait la personne avant son décès. Il est également possible de voir si la fracture a été bien réduite ou non, ce qui nous renseigne sur les connaissances médicales et l'accès aux soins.

Les données métriques

Pour chacun des squelettes examinés, une série de mesures bien précises sont relevées sur les os; ce sont les données métriques. Encore une fois, des comparaisons avec d'autres populations, qu'elles soient anciennes ou contemporaines du groupe étudié, permettent de mettre en perspective l'état de santé de l'échantillon étudié. C'est grâce aux données métriques que l'on connaît la taille moyenne des populations anciennes, qui étaient plus petites que les populations modernes. L'amélioration des conditions environnementales et alimentaires a fait en sorte que nous sommes plus grands et que nous vivons plus longtemps que nos ancêtres.

Les variations anatomiques

Même si le squelette de tous les humains est identique à la base, les os peuvent présenter des variations anatomiques. L'intérêt de ces particularités osseuses, c'est que certaines d'entre elles peuvent avoir une composante héréditaire, ce qui permet de déduire des liens de parenté entre des individus provenant d'un même cimetière. D'autres variations anatomiques ne sont pas héréditaires, mais plutôt acquises lors du vivant de l'individu. Leur analyse permet d'élaborer sur les activités physiques et les stress biomécaniques subis par les membres de la communauté étudiée. Par exemple, un homme ayant travaillé comme débardeur dans le port de Québec n'aura pas le même type de squelette qu'un homme ayant travaillé comme médecin.

Les liens avec le contexte socio-culturel

La confrontation des données archéologiques et bioarchéologiques avec les documents historiques démontre que chaque cimetière, chaque communauté possède sa propre dynamique et ses particularités. La combinaison de ces deux types de données permet de mieux rendre compte de la réalité. Les analyses bioarchéologiques, puisqu'elles s'appuient sur les ossements eux-mêmes, donnent des informations qui ne se trouvent pas dans le registre historique pour diverses raisons. Elles permettent alors de documenter des groupes autrefois considérés comme moins importants, notamment les femmes et les jeunes enfants. C'est le cas du cimetière de Terrebonne, cité plus haut, dont la fouille a permis de retrouver le secteur réservé aux enfants et dont l'analyse bioarchéologique a démontré une forte mortalité infantile, un fait qui explique l'utilisation de médailles dédiées à Ste-Philomène.

 

Vers une nouvelle conception du patrimoine des cimetières

Les stèles du cimetière St. Stephen à Chelsea

La force de l'archéologie funéraire est qu'elle considère en un ensemble intégré les pratiques funéraires et les humains qui sont inhumés. Le patrimoine des cimetières est multiple : il est autant le reflet des anciennes communautés, de leurs goûts et croyances, du contexte socioculturel dans lequel elles vivaient, que des aspects purement biologiques. En analysant chaque cimetière ancien dans son contexte, l'on peut mieux comprendre l'évolution des mentalités et l'évolution biologique des habitants d'une région donnée, par exemple celle du Québec. En comprenant chaque groupe dans sa spécificité, l'on finit par brosser un portrait plus juste des personnes qui ont vécu à tel ou tel endroit.

L'importance du patrimoine bâti des cimetières anciens n'est plus à prouver (NOTE 4). Toutefois, il est important d'insister sur la reconnaissance du tissu archéologique de ces cimetières comme élément patrimonial à conserver. Ceci est d'autant plus vrai dans un contexte d'urbanisation où les espaces verts, qui abritent parfois de vieux cimetières, sont appelés à changer de vocation. Les cimetières permettent de comprendre les valeurs fondamentales d'une société puisqu'ils constituent « un ensemble chargé de significations reconnues (sur le plan civique et spirituel), approprié et transmis collectivement » (NOTE 5). L'archéologie funéraire contribue à la protection de ce patrimoine et permet de faire avancer nos connaissances.

 

Vanessa Oliver-Lloyd
Bioarchéologue contractuelle

 

 

NOTES

1. Québec, Commission des biens culturels, L'évolution de la typologie des cimetières en Occident judéo-chrétien du Moyen Âge à nos jours, Québec, Commission des biens culturels du Québec, mars 2004; Vanessa Oliver-Lloyd, Le patrimoine archéologique des cimetières euroquébécois, étude produite dans le cadre de la participation du Québec au Répertoire canadien des lieux patrimoniaux, volet archéologique, mars 2008, dans Québec, Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, « Études thématiques », Secteurs d'intervention : patrimoine – archéologie [en ligne], http://www.mcccf.gouv.qc.ca/index.php?id=4222.

2. Réal Brisson, La mort au Québec : dossier exploratoire, Québec, CELAT, Université Laval, 1988; Aubrey Cannon, « Material Culture and Burial Representativeness », dans Shelley R. Saunders et Ann Herring (dir.), Grave Reflections : Portraying the Past through Cemetery Studies, Toronto, Canadian Scholars' Press, 1995, p. 3-18; Christopher Carr, « Mortuary Practices : Their Social, Philosophical-religious, Circumstancial and Physical Determinants », Journal of Archaeological Method and Theory, vol. 2, no 2, 1995, p. 105-203.

3. Arkéos inc., Mourir et vivre à l'ombre des moulins : fouille bio-archéologique de l'ancien cimetière de Terrebonne, site BkFj-9. Projet de construction du nouveau théâtre, parc civique de Terrebonne, rapport remis à la Société de développement culturel de Terrebonne et au ministère de la Culture et des Communications du Québec, 2005.

4. Jane Irwin et John De Visser, Old Canadian Cemeteries : Places of Memory, Richmond Hill (Ont.), Firefly Books, 2007; Jean Simard et François Brault, Cimetières : patrimoine pour les vivants, Québec, Éditions GID, 2008.

5. Québec, Commission des biens culturels, Le cimetière patrimonial : un cadre de référence, Québec, Commission des biens culturels du Québec, juillet 2004, p. 7.

 

Bibliographie

Arkéos inc., Mourir et vivre à l'ombre des moulins : fouille bio-archéologique de l'ancien cimetière de Terrebonne, site BkFj-9. Projet de construction du nouveau théâtre, parc civique de Terrebonne, rapport remis à la Société de développement culturel de Terrebonne et au ministère de la Culture et des Communications du Québec, 2005.

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Irwin, Jane, et John De Visser, Old Canadian Cemeteries : Places of Memory, Richmond Hill (Ont.), Firefly Books, 2007.

Oliver-Lloyd, Vanessa, Le patrimoine archéologique des cimetières euroquébécois, étude produite dans le cadre de la participation du Québec au Répertoire canadien des lieux patrimoniaux, volet archéologique, mars 2008, dans Québec, Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, « Études thématiques », Secteurs d'intervention : patrimoine – archéologie [en ligne], http://www.mcccf.gouv.qc.ca/index.php?id=4222.

Ortner, Donald J., Identification of Pathological Conditions in Human Skeletal Remains, 2e éd., San Diego (Calif.), Academic Press, 2003 [1981].

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Simard, Jean, et François Brault, Cimetières : patrimoine pour les vivants, Québec, Éditions GID, 2008.

White, Tim D., et Pieter A. Folkens, The Human Bone Manual, Amsterdam et Boston, Elsevier Academic Press, 2005.

 

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